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Toute jeune, Coquine était déjà très belle. Précoce physiquement, elle était toujours la "chouchoute" des garçons de sa classe.
Elle était âgée de 14 ans depuis 1 mois lorsqu'elle est partie en vacances, avec ses parents, en maison d'hôtes en Provence.
Nul besoin de vous dire que sa déception fut grande !
Habituée d'aller chaque été en camping à St-Raphaël, le bled isolé où se situait la maison d'hôte ne l'enchantait guère.
A cette époque, Coquine n'avait eu que quelques "contacts" avec les garçons de son âge. Flirter et caresser, voilà le résumé de ses expériences.
Manque de chance, cette maison d'hôtes était tenue par un couple avoisinant la soixantaine. Pas de jeunes de son âge pour s'amuser.
Les 2 premiers jours, Coquine s'embêta à mourir. Rien à faire pour une fille de son âge. Sa seule distraction était une piscine dans laquelle elle plongeait sous les regards de ses parents et des propriétaires.
Le lundi, alors qu'elle sortait de l'eau, le propriétaire lui fit des compliments sur sa façon de plonger et de nager. Une petite conversation s'ensuivit dans laquelle l'homme lui demanda si elle avait un petit copain et pourquoi il n'était pas venu avec.
Blablabla, blablabla, la conversation dura quelques temps.
Mais Coquine avait remarqué que, tout en parlant, l'homme promenait son regard sur elle.
- "Le vieux est vraiment un vicieux" se dit-elle.
Et la journée se passa encore de manière monotone.
Le soir, dans son lit, Coquine râlait contre ses parents qui l'avaient amenée ici. Elle aurait préféré être au camping, près de ses ami(e)s.
Puis ses idées revinrent sur sa journée et sur ce vieux cochon qui l'avait matée de façon dégoutante.
Dans son esprit germa une idée: Et si elle s'amusait à exciter le vieux ?
Quelle vengeance ce serait envers ses parents !!!
C'est en imaginant comment faire qu'elle s'endormit.
Le lendemain, alors que ses parents dormaient toujours, elle descendit prendre son petit déjeuner avec les propriétaires.
Elle portait une petite robe légère et avait omis (volontairement) d'en boutonner le haut.
A chaque occasion elle se penchait un maximum pour offrir sa petite poitrine au regard du vieux.
L'après-midi, elle dû se battre avec ses parents qui voulaient aller visiter un village des environs. NON, elle n'irait pas voir ces vieilleries avec eux.
Elle gagna le combat et ils partirent seuls.
Restée là, c'est dans la piscine qu'elle plongea.Et, vu que ses parents étaient partis, elle n'avait mis que le bas de son maillot qui faisait ainsi office de monokini.
Elle n'y était que de 5 minutes lorsque le vieux vint s'asseoir dans un transat tout proche.
Elle le voyait la regarder et elle s'amusa à nager sur le dos afin qu'il voit sa poitrine.
Quand elle sortit de l'eau elle s'empara d'une serviette et la déposa sur ses épaules.
Elle pria le vieux de venir lui essuyer le dos. Il s'exécuta et c'est avec une infinie douceur qu'il parcouru son dos, descendant jusqu'à ses fesses.
Avec une innocence feinte, elle lui demanda si il était possible d'aller nourrir les poules qui se trouvaient au fond de la propriété.
Il accepta et c'est ensemble qu'ils y allèrent.
Coquine n'avait sur elle que son monokini et sa serviette de bain négligemment jetée sur elle.
Dans le poulailler le vieux lui tendit un seau plein de déchets ménagers et elle les distribua aux animaux.
Mais, pour ce faire, elle avait déposé sa serviette sur un petit tronc d'arbre et se trouvait presque nue.
Elle s'amusa à courir derrière les poules et tenta d'en attraper une sans y arriver. N'empêche, elle s'était bien amusée et le dit au vieux. Pour le remercier, elle se jeta à son cou et lui donna un baiser chaste.
Arriva ce à quoi elle ne s'attendait pas vraiment. Tandis qu'elle lui donnait son baiser, l'homme l'enlaça et la pressa contre lui.
Elle se gégagea et recula en lui demandant ce qu'il faisait.
Le vieux bredouilla qu'il s'excusait, qu'il ne savait pas ce qui l'avait pris.
Mais dans la tête de Coquine une idée venait de poindre: "Et si elle s'amusait du vieux et se vengeait de ses parents en même temps ?"
Elle se fit rassurante et lui dit que ce n'était rien. Qu'elle avait été surprise mais que cela ne la dérangeait pas.
Et elle s'approcha de l'homme pour, cette fois, lui déposer un baiser sur les lèvres.
Quelques hésitations puis le vieux s'enhardit à nouveau. Il la reprit dans ses bras et l'embrassa à pleine bouche. Dans le même temps, une de ses mains s'empara d'un sein qu'il pétrit.
Elle le laissa faire, finalement c'était assez agréable d'être désirée par un homme mûr. Juste il lui faisait un peu mal en pinçant son téton.
Le baiser n'en finissait pas, Coquine appréciait mais se demandait quand il arrêterait.
Concentrée sur ce baiser, elle n'avait pas remarqué que ...
... que le vieux avait sorti son sexe de son pantalon !!
Il prit une main de Coquine et l'amena à son "bâton".
Il lui fit comprendre de l'enserrer et l'amena à faire des mouvements pour le branler.
C'était la première fois qu'elle touchait le sexe d'un homme !!!!!
Bien sûr elle savait comment c'était, elle avait déjà eu l'occasion de voir des petits films interdits aux jeunes.
Tout à coup, l'homme mit ses mains sur ses épaules et appuya fortement.
Elle se retrouva à genoux, la bouche à quelques centimètres du sexe de l'homme.
Il lui demanda de le prendre en bouche et elle refusa.
Il insista, lui tenant la tête et forçant pour l'approcher.
Elle finit par céder et ouvrit la bouche, le vieux y engouffra directement son engin. Comprenant qu'elle n'avait jamais fait ça, il la guida.
A un moment, il plaqua la tête de Coquine tout contre lui. Elle manquait d'étouffer, le sexe de l'homme raclait le fond de sa gorge !!
Puis elle sentit un liquide chaud couler en elle.
L'homme recula légèrement, ne laissant que le bout de son sexe dans la bouche de Coquine.
Les dernières gouttes venaient se déposer sur la langue de Coquine qui trouvait ce goût fort acre.
Quand il libéra sa bouche, elle cracha plusieurs fois.
Elle venait de faire connaissances avec le sexe et la pratique de la fellation !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Durant le reste du séjour, l'homme réussit à la coincer par 2 fois. Il voulu lui faire l'amour mais elle refusa, se contentant de le sucer
Ces fois-là, elle ne trouva plus le goût du sperme désagréable.
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Comment Coquin fut dépucelé
Cette histoire va peut-être vous paraître banale, mais elle est le récit véridique du dépucelage de Coquin.
A l'époque, Coquin vivait avec ses 2 soeurs et sa maman. Fort timide, il était encore loin de penser aux choses du sexe.
Un jour, alors qu'il était chez lui avec sa maman, un curé sonna à la porte. Il vendait des revues catholiques et entra boire un café.
La maman de Coquin était contente de la visite de l'homme, ensemble ils devisaient beaucoup sur des sujets qui n'intéressaient nullement le préadolescent.
Mais à un certain moment, alors que Coquin passait près de lui, le curé le prit par le bras et le fit asseoir sur lui.
Assise à l'autre bout de la table, la maman ne dit rien et ils continuèrent leur conversation.
C'est alors que cela dérapa !
Assis sur le curé, Coquin sentit que l'homme lui caressait la jambe. Innocent et ne pensant pas à mal, Coquin ne disait rien.
Tout aurait pu en rester là, mais non.
Cet homme devint plus entreprenant, de la cuisse il remonta à hauteur du sexe de Coquin.
Coquin était horrifién mais n'osait point bouger ni s'enfuir.
Tandis que la maman s'absenta quelques instants, le curé s'enhardit et donna quelques baisers sur la bouche de Coquin.
- Beurk, ses lèvres étaient mouillées et cela dégouta le préadolescent.
La maman revint et Coquin en profita pour se lever et s'éloigner de l'homme.
Le soir, après le souper, la maman appela son fils pour lui faire une annonce.
Et quelle annonce !!!
Elle lui expliqua qu'elle s'était mise d'accord avec le curé et que Coquin irait, dés cette semaine, servir la messe le samedi fin d'après-midi.
Le samedi venu, Coquin alla chez l'homme qui lui expliqua ce qu'il devait faire, quand et comment.
Cela dura 2 semaines, 2 semaines où l'homme se comporta de bonne manière.
La 3ème semaine, à la demande du curé, Coquin était venu plus tôt pour "apprendre d'autres choses".
Effectivement, il allait en apprendre.
Alors qu'ils étaient dans la cuisine, le curé demanda à Coquin combien il pesait car il le trouvait bien mince.
Coquin lui répondit et l'homme lui dit qu'il devait manger plus si il voulait bien grandir.
" D'ailleurs, enlève ta chemise et montre-moi un peu comment tu es maigre" dit le curé.
Coquin s'exécuta et se trouva torse nu face à l'homme.
Sous un prétexte fallacieux, le curé commença à palper Coquin. Le torse, le ventre, le dos, tout y passa.
Certainement bien excité et fort rassuré par la passivité et l'obéissance du préado, le curé lui dit de retirer également le pantalon.
Quelques attouchements, quelques demi-tours, les mains de l'homme se rassasiaient de ce corps doux.
Au bout d'un instant, le curé baissa le petit slip de Coquin et lui pétrit les fesses avant de se diriger d'une main vers le petit sexe.
Doucement, délicatement, il le massait. Coquin se rendit compte que son "zizi" grandissait, devenait dur.
La chaleur l'envahissait, il était apeuré mais trouvait cela agréable.
Le curé se mit à genoux et prit le sexe de Coquin en bouche. Il jouait avec et le mordillait légèrement.
A un moment, Coquin sentit quelque chose qui s'échappait de son "zizi". L'homme continua quelques instants puis se releva. Il déposa un baiser sur la bouche de Coquin puis lui dit de se rhabiller et de s'apprêter pour la messe.
La semaine suivante, le même jeu recommença. Et ainsi de suite durant plusieurs semaines.
Jusqu'au jour où ...
Où, après avoir sucé Coquin, il sortit son sexe de son pantalon et fit mettre Coquin à genoux en lui ordonnant de faire la même chose que ce qu'il lui faisait depuis plusieurs semaines.
Coquin s'exécuta et suça l'homme jusqu'à recevoir son sperme que l'homme l'obligea à avaler.
Durant tout l'hiver ces jeux se répétèrent.
Un jour, alors que Coquin se présenta chez le curé pour servir la messe, il y avait un autre homme présent.
Sans se soucier de sa présence, le curé déshabilla Coquin et le fit allonger sur la table.
Sous le regard de l'homme, le curé caressait Coquin. Puis il lui fit signe et l'homme vint de l'autre coté de la table et parcouru également le corps du préado. Ils le branlèrent, le sucèrent, léchèrent son corps et sa bouche.
Ils avaient descendu leur pantalon et Coquin devait les masturber.
Chacun à leur tour, il dû les sucer.
Durant près d'un an ces samedis continuèrent presque de la même façon. Des fois le curé était seul, parfois l'homme était présent également. A plusieurs reprises Coquin dû aussi les sodomiser. Mais eux ne pénétrèrent jamais Coquin, si ce n'est avec leurs doigts.
Voilà, nullement notre intention n'est de vous raconter des histoires de ce type, mais nous tenions à ce que vous connaissiez le début de notre sexualité et, peut-être, la raison de notre sexualité très "ouverte".
Bientôt la suite de nos aventures personnelles et/ou en couple.
A l'époque, Coquin vivait avec ses 2 soeurs et sa maman. Fort timide, il était encore loin de penser aux choses du sexe.
Un jour, alors qu'il était chez lui avec sa maman, un curé sonna à la porte. Il vendait des revues catholiques et entra boire un café.
La maman de Coquin était contente de la visite de l'homme, ensemble ils devisaient beaucoup sur des sujets qui n'intéressaient nullement le préadolescent.
Mais à un certain moment, alors que Coquin passait près de lui, le curé le prit par le bras et le fit asseoir sur lui.
Assise à l'autre bout de la table, la maman ne dit rien et ils continuèrent leur conversation.
C'est alors que cela dérapa !
Assis sur le curé, Coquin sentit que l'homme lui caressait la jambe. Innocent et ne pensant pas à mal, Coquin ne disait rien.
Tout aurait pu en rester là, mais non.
Cet homme devint plus entreprenant, de la cuisse il remonta à hauteur du sexe de Coquin.
Coquin était horrifién mais n'osait point bouger ni s'enfuir.
Tandis que la maman s'absenta quelques instants, le curé s'enhardit et donna quelques baisers sur la bouche de Coquin.
- Beurk, ses lèvres étaient mouillées et cela dégouta le préadolescent.
La maman revint et Coquin en profita pour se lever et s'éloigner de l'homme.
Le soir, après le souper, la maman appela son fils pour lui faire une annonce.
Et quelle annonce !!!
Elle lui expliqua qu'elle s'était mise d'accord avec le curé et que Coquin irait, dés cette semaine, servir la messe le samedi fin d'après-midi.
Le samedi venu, Coquin alla chez l'homme qui lui expliqua ce qu'il devait faire, quand et comment.
Cela dura 2 semaines, 2 semaines où l'homme se comporta de bonne manière.
La 3ème semaine, à la demande du curé, Coquin était venu plus tôt pour "apprendre d'autres choses".
Effectivement, il allait en apprendre.
Alors qu'ils étaient dans la cuisine, le curé demanda à Coquin combien il pesait car il le trouvait bien mince.
Coquin lui répondit et l'homme lui dit qu'il devait manger plus si il voulait bien grandir.
" D'ailleurs, enlève ta chemise et montre-moi un peu comment tu es maigre" dit le curé.
Coquin s'exécuta et se trouva torse nu face à l'homme.
Sous un prétexte fallacieux, le curé commença à palper Coquin. Le torse, le ventre, le dos, tout y passa.
Certainement bien excité et fort rassuré par la passivité et l'obéissance du préado, le curé lui dit de retirer également le pantalon.
Quelques attouchements, quelques demi-tours, les mains de l'homme se rassasiaient de ce corps doux.
Au bout d'un instant, le curé baissa le petit slip de Coquin et lui pétrit les fesses avant de se diriger d'une main vers le petit sexe.
Doucement, délicatement, il le massait. Coquin se rendit compte que son "zizi" grandissait, devenait dur.
La chaleur l'envahissait, il était apeuré mais trouvait cela agréable.
Le curé se mit à genoux et prit le sexe de Coquin en bouche. Il jouait avec et le mordillait légèrement.
A un moment, Coquin sentit quelque chose qui s'échappait de son "zizi". L'homme continua quelques instants puis se releva. Il déposa un baiser sur la bouche de Coquin puis lui dit de se rhabiller et de s'apprêter pour la messe.
La semaine suivante, le même jeu recommença. Et ainsi de suite durant plusieurs semaines.
Jusqu'au jour où ...
Où, après avoir sucé Coquin, il sortit son sexe de son pantalon et fit mettre Coquin à genoux en lui ordonnant de faire la même chose que ce qu'il lui faisait depuis plusieurs semaines.
Coquin s'exécuta et suça l'homme jusqu'à recevoir son sperme que l'homme l'obligea à avaler.
Durant tout l'hiver ces jeux se répétèrent.
Un jour, alors que Coquin se présenta chez le curé pour servir la messe, il y avait un autre homme présent.
Sans se soucier de sa présence, le curé déshabilla Coquin et le fit allonger sur la table.
Sous le regard de l'homme, le curé caressait Coquin. Puis il lui fit signe et l'homme vint de l'autre coté de la table et parcouru également le corps du préado. Ils le branlèrent, le sucèrent, léchèrent son corps et sa bouche.
Ils avaient descendu leur pantalon et Coquin devait les masturber.
Chacun à leur tour, il dû les sucer.
Durant près d'un an ces samedis continuèrent presque de la même façon. Des fois le curé était seul, parfois l'homme était présent également. A plusieurs reprises Coquin dû aussi les sodomiser. Mais eux ne pénétrèrent jamais Coquin, si ce n'est avec leurs doigts.
Voilà, nullement notre intention n'est de vous raconter des histoires de ce type, mais nous tenions à ce que vous connaissiez le début de notre sexualité et, peut-être, la raison de notre sexualité très "ouverte".
Bientôt la suite de nos aventures personnelles et/ou en couple.
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Coquine et sa meilleure amie
Jolies lesbiennes |
Toutes 2 âgées de 18 ans accomplis, elles étaient décidées à joindre l'agréable à l'utile.
Plein de projets fourmillaient dans leur tête, sorties et dragues de beaux représentants de "His Majesty".
Le voyage en ferry se déroula de manière cahotique, la mer fut très agitée et Coquine eu des nausées tout le long de la traversée.
Dés qu'elles arrivèrent à Douvres leur correspondante était là avec son papa. Moins d' 1/2 heure plus tard elles faisaient connaissance avec le reste de la famille.
Famille qui se composait du papa, de la maman, de leur correspondante ainsi que d'une jeune soeur et un grand frère.
Tous étaient d'une grande sympathie et, très vite, les 2 étudiantes se sentirent à l'aise. Le point négatif se révéla le soir (ainsi que presque tous les soirs) au moment du repas. Décidément, les rosbifs ne sont pas doués pour la cuisine !!
Le soir venu, vers 22h00, nos étudiantes demandèrent à aller se coucher. L'excitation du voyage, ainsi que la traversée, les avaient épuisées.
Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil et un petit déjeuner copieux, leur correspondante ( Emily) les emmena découvrir la ville et ses enfroits typiques. Repas de midi prit dans un fastfood et fin de la visite.
Sur le chemin du retour vers la maison elles demandèrent à Emily si il y avait des endroits pour sortir et s'amuser le soir. La jeune fille leur répondit que oui, mais que son papa ne les autoriserait pas à s'y rendre. C'était déjà rare quand il l'autorisait à sa fille, mais sa responsabilité envers Coquine et Julie (son amie de classe) le stressait très fort et il avait prévenu Emily que il n'en serait pas question.
D'un coup, la joie de Coquine et de Julie fit place à une grande désillusion. Le repas du soir se passa dans une athmosphère fort froide, ce qui étonna les parents d' Emily qui ne leur avait pas avoué les désirs nocturnes de ces petites belges.
Vers 21h00, le grand frère revint et retrouva au salon toute la famille ainsi que nos 2 étudiantes.
Il était très beau ! Grand, les cheveux noirs et des yeux verts très rieurs. Coquine l'écoutait parler sans rien y comprendre. Ce n'était pas tellement son anglais qui laissait à désirer, mais plutôt le fait qu'elle le dévorait des yeux et s'imaginait être dans ses bras.
Vint le moment d'aller se coucher, Coquine et Julie allèrent se rafraîchir puis gagnèrent leur chambre. Elles dormaient dans une petite chambre possédant 2 lits superposés, Coquine dans celui du haut et Julie dans celui du bas.
Elles discutèrent un peu puis décidèrent de dormir.
Mais .......
Très vite Coquine entendit des bruits sourds venant de la couchette de Julie. Elle tendit l'oreille mais n'arrivait pas à les définir. Doucement, elle se pencha et vit Julie qui se caressait et se masturbait.
Coquine la regarda quelques instants puis s'allongea. Cette vue l'avait troublée et un peu excitée, elle se mit à se masturber également.
Les yeux fermés, elle pensait à Tommy (le fils de la maison) et plein d'idées lui traversaient la tête.
Elle n'avait pas dû être très discrète car, ouvrant les yeux, elle s'aperçut que Julie s'était levée et la regardait se donner du plaisir.
Gênée, elle s'arrêta et remonta la couette sur elle.
- "Tu peux continuer si tu veux" lui dit Julie, "moi aussi je viens de le faire".
- "Je sais" rétorqua Coquine, "je t'ai vue aussi".
Julie grimpa sur le lit et vint rejoindre Coquine. Elle s'allongea sous la couette et demanda:
- " Tu te masturbais en pensant à qui ?"
Coquine, mal à l'aise, lui répondit:
- "A Tommy, il est super beau".
- "Oui, il est super beau, ainsi que son papa et sa soeur" dit Julie.
Et elle parlèrent de ces personnes en détaillant ce qui leur plaisait chez chacun.
Coquine remarqua que, tout en parlant, Julie se caressait doucement l'entre-jambes.
Laissant sa pudeur de coté, elle fit de même.
Elles étaient là, toutes les deux dans le même lit à se masturber.
Alors qu'elle était de plus en plus excitée et que son minou laissait couler le résultat de sa masturbation, Coquine sentit la main de Julie se poser sue elle.
- " Que fais-tu ?" demanda Coquine.
- " J'ai envie de te caresser" répondit Julie
Coquine était pantoise, jamais elle n'aurait imaginé que sa meilleure amie aimait les femmes !
- " Tu es lesbienne ? " demanda-t-elle à Julie
- " J'aime les 2 sexes " répondit Julie. "Je ne l'ai jamais dit à personne, mais il m'arrive d'avoir des aventures avec des filles, notamment avec Patricia de l'école ".
Coquine resta muette d'étonnement. Pas que cela la dérangeait, mais plutôt parce-qu'elle n'avait jamais remarqué que Julie avait ce style de sexualité.
Distraite par leur conversation, elle n'avait même pas senti que Julie avait inséré un doigt dans son sexe et le faisait aller et venir. Par contre, son minou l'avait remarqué et était complètement mouillé, voire inondé.
Elle ferma les yeux et se laissa aller à apprécier ce doux moment.
Que c'était bon ! Julie savait comment rendre une fille heureuse !!
Julie se redressa un peu et se pencha sur Coquine pour l'embrasser. De petits baisers sur les lèvres, une langue qui s'incrusta et qui se mélangea à celle de Coquine.
Moins de 5 minutes plus tard elles étaient nues toutes les 2 et se firent du "lèche-minou".
Puis elles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre.
C'est de cette façon qu'elles meublèrent toutes les fins de soirées durant leur séjour.
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